La Chine est le pays où les catégories de
l’art scénique sont les plus nombreuses et les
plus variées dans le monde. Avec les efforts
inlassables de quelques générations
d’artistes chinois, les arts traditionnels et
nationaux sont bien protégés et
développés, et en même temps les arts
occidentaux comme par exemple opéra, ballet,
théâtre et symphonie sont introduits et se sont
implantent dans le pays. Ils s’inspirent les uns des
autres et s’épanouissent tout en ensemble pour
donner de plus en plus de couleurs et de vitalités dans
les spectacles de l’art scénique de Chine.
Acrobatie
L’acrobatie est une forme d’art
populaire, étroitement liée au travail, à la
vie quotidienne des travailleurs et aux rites sacrificiels
religieux. Ainsi, un numéro célèbre
exécuté avec une perche peut faire penser à
un paysan en train de grimper sur un arbre ou à un
bambou. Des numéros comme Le Jeu de Volant, Le Diabolo,
La Barre, et d’autres encore, s’inspirent de
jeux et de sports populaires. Au cours de sa longue
histoire, l’acrobatie chinoise s’est
enracinée profondément parmi les masses et à
l’heure actuelle, sa vitalité reste grande.
En 1950, fut créée la
première troupe d’acrobates de
l’État—la Compagnie Zhonghua,
rebaptisée par la suite la Compagnie chinoise
d’acrobatie. D’autres troupes furent
fondées dans toutes les régions de Chine. Celles
de Shanghai, de Chongqing, de Shenyang et de Wuhan, figurent
parmi les plus célèbres, ainsi que la Troupe
d’acrobatie de l’armée de Guangzhou. Les
acrobates vont souvent donner des représentations dans
les usines et les mines, ou dans les campagnes, mettant leur
art au service des masses. Ils se sont également rendus
dans une centaine de pays et de nombreux numéros ont
remporté des prix lors de compétitions
acrobatiques ou de festivals internationaux. Une douzaine de
numéros surclassent les autres : Jeux de bols,
Assiettes tournantes, Jongleries, Équilibre avec les
jambes, A travers les cerceaux, Jongleries avec les mains,
Acrobatie en bicyclette, Jeux de jarres, La danse des lions,
Le prestidigitateur, Le diabolo, Exercices de Qigong, Jeu
des Arcs.
Danse
Sur une poterie peinte datant de plus de 5 000
ans et mise au jour en 1973 dans le district de Datong,
province du Qinghai, l’on peut voir un dessin
représentant trois groupes de danseurs identiques.
Cette découverte à elle seule atteste de
l’ancienneté de l’histoire de la danse en
Chine ; et les peintures de personnages et de figurines
représentant des danseurs, datant de la dynastie des
Han, témoigne de l’essor et de la continuité
de l’art chorégraphique. Celui-ci connut un
épanouissement sans précédent sous les Tang,
avec les danses de la cour impériale, dont la plus
connue est une pièce intitulée
‘Célébration de la victoire du Roi de
Qin’.
Toutes les ethnies chinoises
possèdent une tradition de chants et de danses. Les
danses populaires des Han sont riches et variées, et
l’on ne compte pas moins d’un millier de danses
folkloriques, parmi les autres ethnies, citons ici : la
danse du Dragon, la danse du Lion, la danse Yangge, la danse
des Lanternes et la danse des Tambourins, la danse
Andai(mongole), la danse de l’instrument à trois
Cordes(tibétaine), la danse Sainaimu(uygur), la danse
Tiaoyue(yi), la danse des Paons(dai), la danse aux
Éventails(coréenne), la danse des Lusheng(miao),
la danse aux longs Tambours(Yao), la danse de la
Palanche(Zhuang), la danse des Chapeaux de Paille(li), la
danse des Battements de Mains(tu), etc.
Le
ballet chinois est un art nouveau. Au début des
années 50 et jusqu’au milieu des années 60,
les chorégraphes s’appuyant sur les techniques de
l’opéra et celles des danses folkloriques, et
reprenant les méthodes traditionnelles de création
de personnages à travers la danse, composèrent un
grand nombre de ballets à thèmes historiques et
contemporains, comme : Voler l’Herbe magique,
Maître Dongguo, La Société des Poignards, Luo
Shengjiao, Liu Hunan, Cinq Nuages rouges, Dielianhua(Les
papillons voltigent autour des fleurs). Les années 80
virent un essor de la création avec l’apparition
d’une centaine de ballets chinois. Parmi eux, celui
intitulé Pluie de Fleurs sur la Route de la Soie exalte
l’amitié entre les peuples de la Chine et
d’antres pays sous la dynastie des Tang,
évoquant, à travers une chorégraphie
particulièrement originale, l’événement
marquant qu’a représenté
l’arrivée de la soie chinoise dans les
Contrées occidentales par la Route de la Soie. Des
œuvres comme Se réfugier dans la Lune ou Les
Amours de Liang Shanbo et Zhu Yingtai, adaptées de
contes traditionnels chinois, sont bien accueillies par les
spectateurs. Ces dernières années, ont
été mises en scène des pièces
remarquables comme Ashima, Le son de la Flûte sur la
mer soyeuse, Le son de Chu, Campagnards, Plaine immense,
Ville frontalière, Neige, Neige, etc.
Le
ballet occidental fut introduit en Chine dans les
années 50. Tout en redonnant des ballets classiques de
Russie, et d’Europe occidentale, on présenta sur
la scène chinoise certains ballets contemporains de
l’Occident. Depuis 1979, influencés par les
ballets européens et américains, les
chorégraphes chinois commencent à trouver leur
style. Ils ont adapté et exécuté des
pièces Sacrifice du Nouvel An, Famille, L’Orage
et La Bile du paon de Lu Xin, de Ba Jin, de Cao Yu et de Guo
Moruo, et la pièce La petite marchande
d’allumettes. Une nouvelle génération de
ballerines chinoises a grandi ; et leur qualité
artistique s’améliore sans cesse. Elles ont
obtenu plusieurs fois des prix dans des compétitions
internationals.
Musique
Au premier siècle av. J.-C., l’on
dénombrait plus de quatre-vingts instruments
différents. Tout au long de l’histoire de la
Chine, ont émergé peu à peu cinq
catégories de musique traditionnelle : chants, musique
de danse, musique d’accompagnement, musique de
scène et musique instrumentale. En 1978, on a
exhumé dans le district de Suint, province du Hubei, un
carillon de 64 cloches suspendues, datant de
l’époque des Royaumes combattants, il y a plus de
2 400 ans. La tessiture de l’ensemble embrasse
près d’une centaine de notes réparties en 5
octaves. Chaque cloche peut produire deux notes
séparées par une tierce. Ceci témoigne du
niveau étonnamment élevé de la musique de
l’époque. Durant la longue période de la
société féodale, la musique chinoise a connu
plusieurs phases d’épanouissement. Guanglingsan
et Les dix-huit élégies pour pipeau,
L’Embuscade sur dix faces pour Pipa(luth chinois), et
Pluie de Fleurs et Clair de lune sur le Fleuve au printemps,
figurent parmi les plus belles œuvres musicales de la
Chine antique. Sur le plan de la théorie, l’on
constate également de remarquables progrès.
‘De nouvelles échelles de tons’,
traité de musicologie, rédigé en 1584 par Zhu
Zain, introduit pour la première fois dans
l’histoire de la musique la division en échelles
de tons selon une progression géométrique, et
expose de manière systématique l’existence
d’une gamme de 12 demi-tons, identique à la gamme
dodécaphonique utilisée dans le monde.
Après le mouvement du 4 Mai en 1919, la
musique chinoise commença à adopter les modes
d’exécution et de composition de la musique
européenne. Dans les années 30 et 40, bon nombre
de musiciens parvinrent à la maturité artistique
au contact du public, et créèrent des œuvres
d’avant-garde d’un style nouveau, qui eurent un
grand succès. Parmi celles-ci, la Marche des
Volontaires, dont les paroles sont de Tian Han et la musique
de Nie Ers, est devenue l’hymne national de la
République populaire de Chine. La création de
l’opéra La Fille aux cheveux blancs a frayé
une nouvelle voie à l’évolution de
l’opéra de Chine.
Le
progrès de la musique de scène a eu comme
conséquence directe l’apparition de troupes
musicales professionnelles et de grands progrès dans le
domaine de l’interprétation. Après la
fondation de la Chine nouvelle, les services culturels
à tous les échelons ont présidé à
la création d’ensemble de chants et de danses, de
troupes d’opéra, d’orchestres et
d’orchestres d’instruments traditionnels
chinois. Un grand nombre de célèbres compositeurs,
chefs d’orchestre, chanteurs et instrumentistes sont
apparus. La Société philharmonique nationale
organise souvent des concerts et interprète des
œuvres de compositeurs chinois, ainsi que des
œuvres de musique classique, romantique et moderne de
compositeurs étrangers. Le public chinois apprécie
beaucoup la musique classique. La Société
philharmonique nationale a joué à plusieurs
reprises la IXe symphonie de Beethoven, et chaque fois, la
salle de concert était comble. Les opéras
étrangers comme La Dame aux Camélias, Carmen,
Madame Butterfly, Le Mariage de Figaro ou
Onéguine… sont bien connus et appréciés
également. Des festivals de grande ampleur ont
été organisés dans tout le pays, tels que
‘Le Printemps de Shanghai’, ‘Le Festival
de la musique et des Fleurs de la Ville de la
Chèvre’(Canton), ‘Le Festival des
Chœurs de Beijing’, ‘La semaine musicale du
Nord-Est’, ‘L’Été de
Harbin’, etc. Les activités musicales hors du
temps de travail sont également florissants. Chaque
année, des manifestations ont lieu à date fixe
comme par exemple : ‘Éclatantes Fleurs de
mai’ à Beijing, ‘Le Festival de Chansons
d’octobre’ de Shanghai, ‘Le Concert des
Écoles’ du Fujian…
Avec le
développement des échanges culturels à
travers le monde, les musiciens chinois ont eu
l’occasion de participer à plusieurs concours
internationaux et beaucoup d’entre eux ont recueilli
des lauriers. Les musiciens et les orchestres chinois ont
laissé des souvenirs dans de très nombreux pays,
tandis que des musiciens mondialement connus tels que le
violoniste Yehudi Menuhin, les chanteurs Lu Ciano Pavarotti,
Placido Domingo, ou encore Julio Iglesias, se sont produits
en Chine. Des orchestres symphoniques célèbres,
comme l’Orchestre symphonique de Philadelphie,
l’Orchestre symphonique de Boston, l’Orchestre
philharmonique de Berlin, l’Orchestre philharmonique
de Vienne et l’Orchestre symphonique de la
Radio-diffusion britannique, sont également venus en
Chine et y ont donné des concerts.
Opéra
L’opéra
est le principal art scénique en Chine. Une série
de techniques de représentation ont été
élaborées, comprenant le chant, le mime, la
déclamation et les combats stylisés, afin
d’obtenir un jeu scénique d’une haute
valeur artistique. La mélodie, la musique, les arts
visuels et la déclamation fusionnent en un tout
harmonieux. L’on dénombre plus de trois cents
genres d’opéra traditionnel chinois, dont la
plupart sont régionaux. Parmi les principaux genres
nationaux, figurent le Jingju(Opéra de Pékin), le
Kunju(Opéra de Kunju), le Pingju(Opéra du Hebei),
le Yueju(Opéra de Shaoxing), le Yuju(Opéra du
Henan), le Yueju(Opéra du Guangdong), et le
Chuanju(Opéra du Sichuan).
Originaire de
Pékin(Beijing) alors capitale des Qing, le plus connu
d’entre eux, le Jingju, a deux cents ans
d’histoires. Il combine théâtre et chant,
musique, danse et combats. Les rôles se divisent en
plusieurs catégories qui conviennent chacune à un
genre déterminé de personnages : le
Sheng(rôles masculins), le Dan(rôles
féminins), le Jing(figures maquillées) et le
Chou(rôles comiques). Ce sont les airs, d’une
inépuisable variété, qui distinguent les
différentes écoles. Chaque catégorie de
personnages a un répertoire de gestes particuliers dans
le jeu et le combat. Ces gestes, puisés dans la vie
courante, sont plus ou moins stylisés et remaniés
pour devenir des mouvements où l’exagération
artistique atteint au sympole, des signes plus ou moins
abstraits. Ouvrir une porte, monter un escalier, ramer,
escalader une montagne, ne nécessitent pas
d’accessoires matériels, il suffit de recourir
à un mouvement de ballet qui donne aux spectateurs
l’impression voulue. Le violon chinois (huqin), le
gong et le tambour sont les principaux instruments de
musique d’accompagnement de l’Opéra de
Pékin. Les chants, la déclamation comique, les
culbutes, les sauts et l’ensemble des gestes
produisent sur scène une grande animation. Les acteurs
célèbres de l’Opéra de Pékin sont
légions. Citons ici quelques noms parmi les plus connus
: Mei Lanfang, Cheng Yanqiu, Xun Huisheng, Shang Xiaoyun,
Zhou Xingfang, Ma Lianliang, Tan Fuying, Gai Jiaotian, Xiao
Changhua, Zhang Junqiu, Qiu Shengrong, Yuan Shihai, Li
Shaochun, Li Duokui et Jiang Miaoxiang. Parmi les
pièces qui ont été chaleureusement
accueillies par le public, citons A la croisée des
chemins, La Rivière d’automne et Troubles au
Royaume céleste.
Qiyi
L’un des arts très anciens de
Chine, est un terme général qui désigne
toutes sortes de spectacles où la narration et le chant
se combinent, accompagnés de geste pour conter,
créer des personnages et dépeindre la vie sociale.
Créé au milieu de la dynastie des Tang, le quyi
connut la prospérité à partir de la dynastie
des Song. Il se développa sous les dynasties des Yuan,
des Ming et des Qing. On compte actuellement plus de 300
sortes de quyi dans l’ensemble du pays. Parmi les quyi
les plus influents et les plus répandus, on peut citer
le jingyuan dagu(Chant accompagné au tambour chinois),
le meihua dagu(Chant accompagné au tambour et
castagnettes), le Shulaibao(histoire rythmée
contée avec accompagnement de castagnettes), le
danxian(chant en solo accompagné à la guitare
à une corde), le xiangsheng(dialogue comique), le
pingshu(roman conté), le kuaiban(conte ponctué de
claquettes), le shidiao de Tianjin(l’air moderne), le
xihe dagu(ballade chantée accompagnée au tambour
chinois, le dagu du Nord-Est(ballade chantée
accompagnée au tambour), le errenzhuan(duo avec des
danses), le pinghua de Suzhou(récit), le pinghua de
Yangzhou (récit), le pingtan(ballade chantée
accompagnée au pipa), le tambour fleuri de Fengyang, le
qinshu du Shandong(chant accompagné au tympanon), le
kuaishu du Shandong(récit rythmé), le zhuizi du
Henan(ballade chantée avec accompagnement de violon
chinois à deux cordes), le qingyin du Sichuan (ballade
chantée), le daoqing du Hubei(récit parlé),
la musique du Guangdong, le shuoshu du Shaanxi du
Nord(récit parlé), le haolaibao des Mongols (conte
rimé),etc.
Les artistes sont de 1 à
3, avec de simples accessoires et sans aucun costume. Les
numéros courts, constitués principalement par des
récits chantés comprennent le danxian(chant en
solo accompagné à la guitare à une corde), le
jingyuan dagu(chant accompagné au tambour chinois), le
meihua dagu (chant accompagné au tambour et
castagnettes) ; les numéros longs sont constitués
principalement d’un récit chanté et
parlé ; le pingtan de Suzhou(ballade chantée
accompagnée au pipa), le xihe dagu(ballade chantée
accompagnée au tambour chinois), etc. Certains sont
constitués d’un récit mi-chanté
mi-parlé comme le kuaiban(conte ponctué de
claquettes), les kuaishu(récit rythmé). Certains
autres sont constitués principalement d’un conte
parlé comme le pingshu et le xiangsheng(dialogue
comique). Les uns racontent de longues histoires
qui peuvent durer deux ou trois mois, tandis que
d’autres en relatent de courtes qui ne dépassent
pas quelques minutes et quelques phrases. Les artistes sont
assis pour chanter et parler dans les numéros de
qinshu(chant accompagné au tympanon), de danci(chant en
solo accompagné à la guitare à quatre cordes)
et de pingshu(conte parlé). Les artistes se tiennent
debout en chantant dans les numéros de dagu(ballade
chantée accompagnée au tambour chinois), de
kuaiban(conte ponctué de claquettes), de zhuizi(ballade
chantée avec accompagnement de violon chinois à
deux cordes), de qingyin(ballade chantée du Sichuan) ;
et pour les errenzhuan du Nord-Est et le tambour fleuri de
Fengyang, dans l’Anhui, ils chantent tout en dansant.
Les instruments d’accompagnement sont la guitare
à trois cordes, le violon à quatre cordes, le luth
oriental, et les instruments à percussion comme le
tambour et les castagnettes.
Le quyi est une
création populaire, très répandue et
d’un goût typiquement chinois. De nombreux quyi
traduisent les sentiments et les aspirations du peuple,
chantent les héros nationaux, les fonctionnaires
intègres et l’amour fidèle. Ils jouissent
toujours d’une très grande popularité. A
l’heure actuelle, des troupes professionnelles de quyi
ont été fondées dans toutes les régions
du pays. Parmi elles, on trouve la Troupe de Récits
chantés de la Radiodiffusion centrale, la Troupe de
Quyi de Tianjin, la Troupe de Pingtan de Shanghai, la Troupe
de Pingtan de Suzhou, la Troupe de Quyi de Shengyang, la
Troupe de Quyi de Sichuan,etc, sans parler d’un grand
nombre de troupe de quyi amateu.
Théâtre moderne
Le théâtre moderne, ou
Huaju(théâtre parlé) a vu le jour sous
l’influence de la culture étrangère.
C’est au début du Xxe siècle
qu’apparurent en Chine les premières troupes de
théâtre moderne. Les drames joués dans les
années 30 et 40, tels que L’Orage, Le Lever du
soleil, Qu Yuan et Fleurs jumelles, eurent des
répercussions profondes sur la société de
l’époque. Après les années 50, le Huaju
connut un grand développement. Le Fossé de la
Barbe du Dragon, Cai Wenji, et Guan Hanqing sont des
pièces dont les répliques sont sur toutes les
lèvres. Certaines œuvres, comme La Maison de
Thé de Lao She, ont non seulement été
applaudies en Chine, mais aussi couronnées de
succès à l’étranger. Le
théâtre est devenu plus prospère avec la
Nouvelle Période. A part une série de pièces
chinoises, on a aussi interprété un grand nombre
de meilleures œuvres étrangères comme Mort
d’un promoteur des ventes, La vie de Galilée,
etc. Le théâtre moderne s’est beaucoup
développé à partir du milieu des années
80, avec de nouvelles recherches et réformes sur le
contenu et la forme. Par exemple, Le signal absolu, a morLt
de Gou’er, La jupe rouge à la mode, La visite
d’un vivant à un mort, etc., ont toutes
été couronnées de succès. En outre,
L’Incident de Xi’an, sur un sujet historique, Le
premier pavillon sous le ciel et Les oiseleurs, couleur
locale, La ruelle Gala et Soutenir le soleil de demain
données ces dernières années expriment toutes
l’excellent niveau des dramaturges chinois et la
brillante perspective du théâtre de Chine.